Amélie Oudéa Castéra, parcours de joueuse de tennis et classement ATP

Quel est le parcours d’Amélie Oudéa Castéra en tant que joueuse de tennis ? Avant de devenir Ministre des Sports et des Jeux olympiques et, brièvement de l’Éducation, le parcours d’Amélie Oudéa Castéra était très différent. A ses débuts sa carrièré était principalement axé sur le tennis et le sport. Puis, dans le digital / e-commerce (Axa / Carrefour). Voici un résumé de sa carrière dans le tennis avant d’entrer dans la sphère politique :

Jeunesse et Débuts dans le tennis de haut niveau

  • Amélie Oudéa Castéra est née le 9 avril 1978 ;
  • Pour commencer, elle a débuté sa carrière en tant que joueuse de tennis professionnelle dans les années 1990 (à l’âge de 6 ans).
  • Elle n’était pas encore marié et jouait alors sous le nom de Amélie Castéra ;
  • Egalement, Amélie a remporté le championnat de France des moins de 14 ans puis des moins de 16 ans ;
  • Elle a atteint les demi-finales de trois des quatre tournois du Grand Chelem juniors en 1993-1994. US Open 1993, Roland-Garros 1994 et Wimbledon 1994.
  • Pour finir, Amélie Oudéa Castéra en joueuse de tennis a également remporté l’Orange Bowl Minimes, une victoire dans le tennis junior.

Amélie Oudéa Castéra joueuse de tennis : parcours et classement ATP

  • Au début de sa carrière professionnelle de tennis, elle a atteint son meilleur classement WTA en simple à la 251ème place (mai 1995) ;
  • Son meilleur classement français a été 18ème ;
  • Elle a participé à différents tournois du circuit professionnel WTA ;
  • Après avoir été éliminée au troisième tour des qualifications de Roland-Garros en 1993, Amélie reçoit une invitation pour participer au tableau principal de l’édition suivante. Malheureusement, elle s’incline au premier tour contre la Belge Sabine Appelmans, classée 17e mondiale à l’époque ;
  • Malheureusement, elle n’a pas remporté de titre en simple sur le circuit WTA ;
  • Amélie Oudéa Castéra en tant que joueuse de tennis avait comme surface préférée le gazon ;
  • Dans l’ensemble de sa carrière junior, le taux de victoires d’Amélie Oudéa Castéra s’élève à 66%. Sur un total de 44 matchs, elle a remporté 29 rencontres et subi 15 défaites ;
  • Sur gazon, son taux de victoires est de 69%. Sur 13 matchs disputés sur cette surface, elle a remporté 9 victoires et enregistré seulement 4 défaites ;
  • Sur terre battue, elle maintient un taux de victoires de 60%. Avec 15 matchs joués, elle a remporté 9 rencontres et en a perdu 6 ;
  • Par la suite, sur surface dure, elle maintient également un taux de victoires de 69%. Sur 16 matchs disputés, elle a remporté 11 victoires et subi 5 défaites ;
  • En juin 1996, après une défaite lors d’un match de double en junior à Roland-Garros, où elle était associée à Amélie Mauresmo elle arrête sa carrière professionnelle de joueuse de tennis.
Amélie Oudéa Castéra joueuse de tennis
Photo de Sam Barnes/Web Summit (Creative Commons Attribution 2.0)

Une gauchère au jeu polyvalent en style de jeu

Amélie Oudéa Castéra était une joueuse de tennis gauchère, était reconnue pour sa maîtrise technique et tactique sur le court. Cela étant, son revers était loué pour sa beauté, tandis que sa palette de coups témoignait d’une grande polyvalence. Son style de jeu était marqué par son intelligence tactique, lui permettant de varier le rythme et l’angle de ses coups pour déstabiliser ses adversaires.

Amélie Oudéa Castéra en joueuse de tennis avait l’aptitude à s’adapter à différents styles de jeu et à trouver des solutions créatives en faisait une adversaire redoutable. Y compris pour Amélie Mauresmo chez les juniors. Ainsi, Elle était pour Mauresmo sa “bête noire” pour l’avoir battue trois fois sur trois chez les jeunes ! Le qualificatif qui reste en tête des gens qui l’ont côtoyé à cette époque est l’excellence.

Amélie Oudéa Castéra joueuse de tennis : Post-Carrière sportive

À l’âge de 19 ans, Amélie Oudéa Castéra prend la décision de mettre fin à sa carrière sportive de haut niveau afin de se concentrer sur ses études. Quelques années, en 2021, après elle est devenue directrice générale de la Fédération Française de Tennis.